Dans son livre « Eloge de l’optimisme », Philippe Gabilliet développait un chapitre intitulé « Pourquoi les optimistes ont-ils plus de chance que les autres ? »
Aujourd’hui, Francis Zentz publie un nouvel ouvrage qui fait à nouveau le lien entre chance et optimisme : « J’aide la chance ». L’auteur nous propose une réflexion sur la chance, d’où elle vient, comment elle se présente et comment on la cultive.
Il nous accompagne dans la lecture de cet ouvrage en détaillant les 5 clés que chacun de nous peut actionner et cultiver au quotidien pour développer sa chance :
– Conscience. Le regard que nous portons sur les événements, et notre interprétation positive (ou négative) de ces événements crée des espaces porteurs de chance (ou pas). Tout événement que nous vivons est neutre ; c’est notre interprétation qui le transforme en moteur ou en frein.
– Clarté. C’est le dialogue intérieur positif que nous entretenons avec nous-même, qui nous donne confiance en nous, nous donne des ailes, nous permet d’oser faire le premier pas. Dans certain cas, notre dialogue intérieur est inhibant (« tu n’y arriveras pas, inutile d’essayer…« ) et bloque l’arrivée de l’opportunité qui aurait pu tout changer. Dans ce cas, nous devenons nous-même le pire ennemi de notre propre chance.
– Connexion. C’est notre niveau d’extraversion qui influe sur notre capacité à nous connecter aux autres, principaux vecteurs de chance. On peut améliorer son extraversion naturelle avec un minimum d’efforts et pour un maximum d’avantages. Chaque personne que nous rencontrons porte un message pour nous et il ne tient qu’à nous de le recevoir.
– Curiosité. C’est notre ouverture d’esprit, l’intérêt que l’on accorde à son environnement, porteur de possibilités, d’opportunités. Cette faculté se développe facilement, car l’inattendu se trouve juste hors de notre zone de confort. Nous pouvons élargir le champ de notre curiosité pour découvrir des sphères de chance inattendues. C’est quand, la dernière fois que vous avez fait quelque chose pour la première fois ?
– Construction, l’action dans la durée. Chaque jour, nous faisons une bonne centaine de choix et chacun d’eux peut être une porte ouverte à la chance. En effet, celle-ci se construit par nos choix, nos décisions et nos actions quotidiennes. Un individu qui ose, qui tente, qui renouvelle ses demandes aura toujours plus de chance que celui qui reste enfermé dans sa bulle.
Par opposition à la « loi de Murphy » (si quelque chose peut mal tourner, elle va forcément mal tourner), l’auteur nous propose la « loi de Zentz » qui se décline sous deux facettes :
– Quand quelque chose de bien nous arrive, il y a de fortes chances pour que d’autres bonnes choses nous arrivent ensuite.
– Lorsque quelque chose de désagréable nous arrive, il y a sûrement un signe ou un message positif à recevoir.
Si le résumé de ce livre vous parle, suivez ce lien…
« J’aide la chance » par Francis Zentz, éditions En Avance
par Yves de Montbron, secrétaire de la Ligue des Optimistes de France
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